Le bar du Irron Maydden

Un grand bar restaurant avec des groupes de musiques sympas qui viennent y jouer...

[Post n°36]

Une fois arrivé, je m'assois devant le comptoir et commande une bière que je bois doucement. L'ambiance du bar est très réchauffante. On parle, on boit, et on écoute le groupe d'Ohirs aux cheveux longs qui font du bruit avec leurs lutes.
Soudainement, je remarque un vieux Sajir à l'air verreux qui s'était discrètement approché de moi. Il pue la...le...enfin, il sent quelque chose que je n'avais jamais senti avant, et que je n'appréciais guère.

-"T'es nouveau, toi...T'es un soldat, j'parie! C'est ça! Hein! Harf harf harf! j'ai été soldat, moi aussi...harf harf!...enfin, revenons à nos moutons.", dit-il.

Nos moutons? Quels moutons? Il poursuiva :

-"Ca te dirait, une potion d'invulnérabilité Rek'Nizash? Bien pratique sur les champs de bataille...30 rubis! C'est tout ce que je demande! C'est une affaire! Qu'est-ce que t'en dis?

Rek'Nizash? Une potion d'invulnérabilité?...Ca existe? Mais de toute façon, ça enlèverait tout le plaisir du combat... Je fais part de cela au Sajir.

-"Plaisir! Harf harf harf! T'es un drôle toi...A bon entendeur, salut!

Mon curieux interlocuteur parti, je continuer à boire ma bière...Que pouvait-il bien me vouloir?

Quelques heures plus tard, je soulève mon corps imbibé d'alcool hors du bar. Il fait nuit, et les ruelles sont sombres...et je ne souviens plus d'où se trouve la caserne. Tout à coup, j'entends des bruits de bouteille cassée dans la rue d'a côté. Puis, des voix se lèvent; j'entends quelqu'un tomber...je m'approche du tournant de la rue pour voir ce qui se passe.

Un homme est au sol, il pourrait être saoul mais il ne sent pas l'alcool, il plance ici seulement une odeur désagréable qui te rappelle vaguement quelque chose mais tu es trop bourré pour savoir quoi.

[Post n°37]

Je m'approche en courant, ou plutôt, en titubant, de l'homme. Il vit encore. Je le retourne pour voir son visage et m'aperçois que c'est le même Sajir douteux qui était venu me proposer sa camelote ce matin. Euh, cet après-midi. Il commençait à revenir à lui.

-"Vous allez bien? Qui est-ce qui vous à mis dans cet état?", lui dis-je. Bien que mes paroles étaient quelque peu ralenties par l'alcool, il avait l'air de m'avoir compris.

-"...harf....c'était...deux..."

"Deux? Deux quoi?"

En guise de réponse, il lève sa main pour me montrer quelque chose avec son doigt. Je me retourne plusieurs fois avant de comprendre que c'est moi qui démontre. Puis, il s'évanouït. Je parviens à réunir assez de ma force mentale pour comprndre qu'il faut que je l'emmène à l'infirmerie. Donc, dans la nuit, et dans un fort que je connais à peine, je commence à transporter le vieil homme sur mon dos pendant une quinzaine de minutes.

Tu arrives à l'infirmerie où ils le prennent en charge et te posent quelques questions banales sur la situation dans laquelle tu l'as découvert. Ils te font aussi boir une potion qui dissipe les effets de l'alcool.