Après la bataille

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La première bataille est enfin terminer. Il attendent quelque chose. Nos fantassin sont encore là, il n'ont pas encore participer à la bataille, mais les archers oui, beaucoup d'entre eux sont morts mais ils ont été remarquable.Je m'avance parmi les soldats près à ce battre, j'entends mon nom, je vais dans la direction dans laquelle la voix est venu et je me retrouve avec Mégalomania tenu par 4 hommes et un autre à terre, je demande ce qu'il s'est passer et l'on me répond qu'il a frapper l'homme à terre, je lui donne une bonne claque et lui dis de ne plus jamais frapper l'un de ces frères. Puis je demande à d'autres hommes présent d'emporter l'homme à terre jusqu'à quelqu'un qui pourrait le soigner. Ensuite je demande qu'on relâche Mégalomania et lui dit de me suivre, car nous devons savoir ce qu'il se passe en première ligne.
Au fur et à mesure que l'on s'avance, l'ont me fait part de rumeurs qui circulent dans la foule. Je me presse d'aller à l'entrée du village dévasté là où nous avions ériger un autre fossé à pics. J'aperçois des milliers de points rouges décrochant nos pièges et découvrant les fossés.Je me dirige alors vers les cavités que j'ai demandé de creuser pour voir de plus près l'ennemi et les dégâts occasionner. L'on me fait un rapport me signalant que trois cent de nos archers serait mort, je demande que l'ont évacue les morts puis je demande que des archers reprenne place aux endroit libres.D'une des cavité je vois que des renforts pour l'ennemi arrivent de l'escalier. Je me dirige vers mon point de départ et la je prend un peu de hauteur pour faire face à mon auditoire et je dit:

" Ils ont réussis à passer le premier fossé, et ils reçoivent des renfort d'après ce que j'ai pu voir, mais ne paniquons pas, pour l'instant rien n'est encore jouer. Nous n'avons perdu que 300 soldats, 300 archers,et nous nous rappellerons toujours d'eux, grâce à eux nous avons pu les ralentir.Maintenant,l'ennemi réunis ses troupes avant d'attaquer de nouveau, ce sera une autre grande bataille, ne nous divisons pas maintenant, continuons nos efforts, nous ne les laisserons pas passer! Nous pouvons vaincre! Vive le quatrième sous-sol!"

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"Nous allons lancer une attaque, voici notre plan, nous serons 600 minimum à attaquer. Nous allons nous diviser en 3 régiment. Le premier régiment constituer de au moins 300 personnes, seras subdivisé en trois groupes, l'un deux composés des quelques archers restant et d'hommes avec des lances attaqueras totalement de front et couvriras la progression des deux autres groupes, qui iront sur les cotés puis piqueront vers l'ennemi derrière la palissade, j'irais dans le groupe qui iras vers la droite. Pendant ce temps les deux autres régiments détruiront une ou deux cavité sur les côtés du village dévasté, se dirigeront vers la seconde palissade, là ils se sépareront en deux autres groupes. L'un deux contournera la palissade d'un côtés la palissade et attaquerons l'armée par derrière, l'autre groupes contourneras l'autre bout de la barrière et se posteras derrière un bâtiment et nous informeras des mouvements ennemis. Le régiment comporteras Mégalomania.
Le dernier régiment fera la même chose que le deuxième mais de l'autre côté du village.Si nous réussissons à battre les premières troupes, nous nous attaquerons tous aux campements des chefs. Bien, vous avez tous compris, encore une chose, si un ennemi inattendus ou les troupes ennemis trop nombreuse, la corne sonnera la retraite, tout le monde se replieras, J'AI BIEN DIS TOUT LE MONDE! Ah oui j'oubliais, pour passer nos fossés remplis de pics nous utiliserons des planche que nous désosserons des carrioles que nous possédons. Si vous avez tous bien compris le plan, nous pouvons commencer."

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nous prenons positions face à la barrière, mais à une centaine de mètres, l'obscurité n'a encore pas révélé notre position. Tous reste en silence. Mon régiment et celui de gauche commence à ce détacher du régiment central, un bruit de roches qui s'effondre se fait entendre, les deux autres régiments vont se mettre en place, mais ils doivent être remarqués car il y a du mouvement chez les troupes adverses, c'est là où nous lançons l'attaque pour qu'ils puissent se positionner. Une première volée de flèche par en direction du camp ennemi une autre nous répond, avec un grand rugissement nous lançons l'attaque, certain tombe à cause des flèches. L'armée ennemi sort de derrière la palissade, certain doinins jettent en direction de l'ennemi des couteaux car nous ne somme plus qu'à vingt-cinq pas d'eux. Deux grand choc se font ressentir, la rencontre des armées. La bataille fait rage, il y a des mort des deux cotés, quand soudain une énorme créature surgi de derrière l'escalier elle se dirige sur le champs de bataille, et se mêle au combat tuant doinins comme envahisseurs, c'est l'ancien dragon de l'Antre. Je prend la corne accroché à mon cou et souffle dedans, c'est l'ordre de replis, je cri de rejoindre la base. D'autres cornes se font entendre sur les côtés, les autres régiments se repli aussi, c'est un peu la débandade, les doinins s'enfuient, d'autres essayent de tuer le dragon sans grand résultat. Certain des survivant arrivent, dont moi à l'endroit d'où nous sommes partis et nous nous réfugions comme nous pouvons, jusqu'à ce que le dragon se lasse de la bataille.

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Sous les ordres de Psycho, mon régiment et mi avions pris place à l'endroit nommé. Après avoir traversé les planches, une partie de mon régiment avait été décimée dû aux flèches ennemis. Nous étions des bêtes assoifées de sang avec un seul but en tête : faire payer à ces gens qui nous avaient toujours rejetés! Nous essayâmes de nous cacher derrière la palissade en attendant le signal d'attaque, mais les soldats énnemis nous avaient déjà repéré.
Je hurlais :

"Allez-y mes frères, ne vous laissez pas dominer par cette armée de traîtres! Faites les taire à jamais ces gens qui refusent notre existence!"

Soudain, un hurlement se fit entendre de l'autre côté la ville! Des cris de vengeance, des cris d'affamés qui jouaient peut-être leur dernière bataille... Je compris que Psycho et ses hommes venaient d'attaquer. Je gueulais à mes hommes de franchir coûte que coûte la palissade qui nous séparait de nos ennemis et je les accompagnais épée brandie, prête à couper des têtes. Il y eu un choc enormes et l'on entendit le bruit des armes de fer et des soldats qui tombaient raides morts par terre. Mes hommes étaient déchaînés et moi-même je frappait où je pouvais. Une lame me coupa au niveau du bras gauche et c'est là que j'entendis un grognement caverneux. En l'espace de quelques secondes, un énorme dragon sortie de nul part ce qui entraîna le replie des troupes au son de la corne. Nous atteignâmes comme nous le pouvîmes un refuge d'où ne regardâmes le dragon brûler tout ce qu'il pouvait sur son passage (et notamment des ennemis).