[Le_Korrigan]L'inventaire

[post5]
Le Korrigan était arrivé à Vikk sans ménages, surement grâce aux arakniris qui le surveillaient. Il avait courru tout le long, s'arrêtant de temps en temps pour entretenir un groupe de voyageurs, afin qu'ils lui donnent en échange un repas. Le Korrigan conaissait Vikk, il s'y était rendu plusieurs fois pour des raisons qui l'appartenaient. Il était passé par les rues et ruelles ou l'on entendait résonner les bruits des artisanats et industries. Certains le conaissaient déjà, d'autres s'exclamèrent en l'apercevant, mais le Korrigan avait une idée dans la tête, et les ignora tous. Plusieures fois il croisa une garnaison de soldats fraîchement équipés, des pièces d'armure frappés du symbole de Canih, la ville des forgerons. Néanmoins Le Korrigan n'apréciait pas énormément cette ville, pôle militaire et industriel, et trouvait qu'il manquait de vie. Les personnes ici étaient qu'il observait soit travailleurs soit militaires, et la force importante de l'ordre rendait impossible toute activité criminelle, ce qui malgré tout ternissait l'ambiance selon Le Korrigan. C'était une ville ou Le Korrigan avait du mal a pratiquer son métier, car les gens mettaient la priorité sur leur production, de plus les patrouilles fréquentes perturbaient Le Korrigan. Il s'était rendu dans le quartier militaire, après avoir cheminé parmi les habitations.
Plusieurs casernes se trouvent ici, Le Korrigan courre, se place en face d'une caserne, et reste là, observant pendant une dizaine de minutes, calmement, puis il sprintait à nouveau vers une autre caserne. Le Korrigan répéte ce curieux procédé, observant l'activité des casernes.
[Que voit-il?]

8 casernes au total, tu ne sais cependant pas ce qu'elles habritent

[post 6]
Le Korrigan, après avoir observé les huit casernes sans grand succès, décide de rentrer dans la première. Il se retrouve face à un bureau, derrière lequel se trouve un militaire, qui étudie ce qui semble être des rapports. Il finit de lire son rapport lève la tête, qu'il rejette en arrière aussitôt, surpris par l'apparence du Korrigan. L'officier l'interpelle:
-Qu'avez vous besoin?
-Je désire être recruté.
Surpis à nouveau, il bredouille:
-Mais, vous n'avez pas l'air d'avoir le physique nécéssaire, les entrainements peuvent être très endurants...
-J'ai des aptitudes de sprint, je cours très vite, je pourrais servir en tant que messager.
[Que ce passe t'il?]

[Post 7]
Voilà que le Korrigan n'avait plus qu'une solution, l'infiltration. Pour préparer son coup, il lui fallait une entrée dans la caserne. En contournant le bâtiment, il y trouva une fenêtre sale qui avait l'air de donner sur une pièce de rangement inoccupée. Il rentra par la fenêtre, et déposa une caisse de manière à empêcher la fermeture de la porte totale, puis il ressorti, laissant la fenêtre entrebaillée. Il songe d'un plan pendant tout l'après-midi, et décide de l'executer le soir même. Il avait attendu que tous les bruits cessent dans la caserne, pour passer derrière la bâtisse. Il rentre à nouveau péniblemnt dans la petite pièce et constate qu'on avait pas fermé la porte. Mais en rentrant par la fenetre il bouscule un balai, ce qui cause un bruit moindre, mais qui est entendu dans le silence de la nuit. Des pas d'un garde s'approche, mais celui ci ne crie pas l'alerte, mais a l'intention d'inspecter la pièce. Entendant les pas proches de la porte, Le Korrigan ouvre violament la porte, qui frappe le garde à la tête, l'assomant sur le coup. Le garde tombe sur le sol de pierres, ce qui fait un bruit sourd. Heureusement qu'il ne porte rien de métallique, cependant quelques voix non pas alertés mais inquiétés s'élevèrent, indiquant au Korrigan qu'il ne lui restait plus beaucoup de temps. Il se dépeche vers l'entrée, ou se trouvent les archives. Là il trouve l'officier enformi sur sa chaise, pas encore perturbé par les quelques bruits que causent les soldats réveillés. Cherchant rapidement, sans toucher l'officier, Le Korrigan trouve une copie de l'inventaire des troupes de la ville, sous le gros bras du dormant. Le Korrigan essaye de délicatement dle soulever, mais le bruit des pas qui se rapprochent l'éveille peu à peu. Le Korrigan, saisit le document, et disparait à travers la porte avant que celui ci n'ai pu prendre conscience de ce qui se passait.
[que ce passe t'il?]

Edit: ok c'est fait

Alors qu'il retourne vers sa sortie, il entend des bruits de voix derrière la porte qui donne sur la pièce où sa fenêtre l'attend. Il n'a que le temps de se dissimuler dans l'ombre alors qu'un garde sort de la pièce mais sa torche éclaire trop bien les paroies... en se rapprochant, il ne pourra pas ne pas s'appercevoir de l'intrus.

[post 8]
Bon, l'infiltration ne s'était pas passée exactement comme prévue, mais il avait les documents!
En voyant la lueur de la flamme approcher, et en entendant les pas de plus en plus forts, Le Korrigan se prépare à une incantation, aléatoire. Ses yeux deviennent blancs, et se met à tourner dans tous les sens, emmaganisant de l'énergie.
[Que ce passe t'il]

[hors rpg: il te faut numéroter tes posts de rpg depuis le début!!! pas seulement dans ce sujet (au boulot!)]

Le korrigan donne un violent coup dans le vide... la force magique propage la puissance et le garde est projetté contre le mur d'en face, l'assomant dans un bruit sourd mais peu audible... quelle chance.
Mais l'onde de choque rebondit et va terminer sa course contre une armoire qui tombe à la renverse...

[garde assomé]

[l'alerte a été donnée]

[post9]
L'alerte est donnée! Le Korrigan ne peux pas se cacher, avec le nombre de soldats qui cherchent l'intrus dans la caserne...
Le Korrigan se met à sprinter, autant au dessus de l'armoire qu'il avit renversée, vers la pièce de rangement par laquelle il était rentré.
Le voilà devant la porte, le Garde qu'il avait assomé en ouvrant la porte est allongé mais est en train de reprendre conscience.
Le mettre à nouveau K.O ou s'enfuir?
S'enfuir.
Le voilà dans la pièce, la fenêtre est toujours ouverte.
[Que se passe t'il?]

alors qu'il passe par la fenêtre, une main l'empoigne au bras et le retire à l'intérieur de la pièce...

[post10]
Tiré à linterieur le Korrigan tombe au sol, se blessent. Voyant cela, l'homme lâche sa prise. Aussitot Le Korrigan en profite pour le bousculer avec ses pieds. L'Homme se cogne contre la caisse qu'il avait placée là auparavant, ce qui laisse le temps au Korrigan de se relever. Cherchant en hâte un arme improvisée, la main du Korrigan se ferme autour d'un... manche à balai. Il assène un coup sur la tête du soldat.
[Que se passe t'il?]

le garde se relève et va contre attaquer...

[Le korrigan perd 1 PV]

[Garde mineur perd 3 PV = 7 PV]

[post11]
Le Korrigan, qui pensait que le coup lui aurait permis de s'échapper, se pré pare à sa contre attaque.
Il monte sur le rebord de la fenêtre et repousse l'homme avec son bâton, et tente part la suite de s'échapper à nouveau.
[que se passe til?]

alors que tu passes par la fenêtre, l'homme se précipite sur toi et voyant qu'il ne pourra pas te rattraper, crie et la referme... alors, tu sens une vive brulure sur un de tes doigts... non pas une douleur aïgue mais une douleur sourde, au fond de tes entrailles...
tu vérifie que tu as bien les documents... ils sont là.
tu regarde ta main... ton anulaire gauche n'est plus là.

[Le Korrigan a perdu un doigt et perdra 1 PV par post jusqu'à ce qu'il soit soigné]

[n'oublie pas de numéroter tes posts...]

[post 11]
Le Korrigan, malgré sa douleur, se met à courir en direction des ruelles, afin de d'y semer les éventuels gardes. Il fallait qu'il quitte cette ville le plus vite possible, vu le nombre de soldats qu'il y avait, il ne pourrait pas sortir s'il s'attardait trop. Il coure à travers les sombres rues désertés, et essaye de se repérer rapidement. Il n'est pas si loin de la sortie, mais évite toutefois d'emprunter les larges rues. Les artisans se mettent au travail doucement, avant même que le jour apparaît. Une voie qui lui est connue l'interpelle:
-Hey, le Ménestrel, par ici!
Le Korrigan reconnait le potier avec qui il avait fait amitié il y a quelques années.
-Alors, pourquoi cette précipitation? Tu t'es encore fourré dans un pétrin?
-Les Soldats, dit le Korrigan, montrant sa main.
L'artisan observe la blessure avec fascination, mais le temps presse. Le Korrigan manifeste son impatience et l'artisan s'excuse et l'invite dans son atelier.
-J'ai peut être quelque chose pour toi qui pourrait t'aider pour résister à la blessure, mais je ne peux pas te la soigner.
Le Korrigan attend trente secondes, mais entendant des voix au loin, il décide d'abandonner l'atelier.

[post 11-suite]
Le Korrigan, après avoir laissé l'artisan dans sa quête d'un remède, poursuit son chemin à travers les rues dans lesquelles la vie renaissait petit à petit. Il faut courir encore, il espère que les gardes n'ont pas alertés ceux qui protègent l'entrée. Vu la non réaction des gardes des portes, l'information n'avait pas encore dépassée le Korrigan, qui dissimule sa main en passant par la porte. Il poursuit quelques centaines de mètres en dehors de la ville, les maisons des alentours de Vikk devenant de moins en moins fréquentes. Il ne lui restait plus qu'à rencontrer les arakniris, et leur donner les doncuments qu'il tiens fermement dans sa main valide. Il n'ose pas s'arrêter pour la faire soigner, et espère qu'elles accepteront de l'aider, il redoute une infection de la plaie ou pire le sang. La douleur qui venait en pulsations de plus en fortes lui rappellent son lointaine et malencontreuse rencontre avec son mutilateur.